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Back Market lève 110 millions d’euros. Booyah!

Mai 2020

On prévoyait déjà d’être montés sur des ressorts au moment de se déconfiner, mais là ça risque de se transformer en concours de Monster Truck au bureau : Back Market vient de lever 110 millions d’euros auprès de trois fonds d’investissement.

A l’heure où on ne sait pas trop de quelle manière l’humanité va écrire la suite du XXIème siècle, cette somme supersonique devrait nous permettre d’accélérer encore dans notre quête originelle : imposer une manière un peu plus raisonnable de consommer des produits tech, en faisant mieux avec moins.

Dans un souci de transparence, on voulait vous partager notre réponse à la “question préférée” de Booba, quand il était encore copain avec Kaaris : “qu’allons nous faire de tout cet oseille ?”

Ajouter des talents aux talents

On a encore l’impression d’être au tout début du film Ocean’s Eleven. En mode Rusty Ryan et Daniel Ocean partis faire du porte-à-porte pour réunir l’équipe parfaite, afin de faire le casse du siècle.

Les Terry Benedicts de ce monde n’auront qu’à bien se tenir

Since our launch at the end of 2014, we have already convinced nearly  300 Back Makers  to join us, each more talented than the last. But this  dream team  will not be enough to achieve our goal. So if you have panache to spare and thirsty to join a project that makes sense,  feel free to click  here .

 

PS: it also works if you know some great developers to recommend us. We offer 500 € to spend on Back Market for each successful co-optation, like headhunters. Click here  to recommend your buddies to us.

PPS: @lesplusfous, try to recommend yourself to aim for the double jackpot.

Nous partîmes cinq trois cents ; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port.

Pousser encore plus loin la qualité des produits et des services

 

Dans le monde fabulous de la startup nation, on adore parler de North StarC’est à dire la phrase qui va aligner les actions de tous les membres d’une équipe sur un seul et même objectif, atteignable à moyen terme.

Voici celle de Back Market, pour les deux années à venir  :

Il n’y a plus aucune raison factuelle de préférer un produit neuf à un produit reconditionné.

Atteindre cet objectif implique d’avoir un niveau de qualité parfaitement aligné à celui du marché du Neuf. On a jamais été aussi proches d’y parvenir. Mais on veut encore accroître la taille de nos équipes qualité, développer de nouveaux services pour accélérer la résolution des problèmes de nos clients et renforcer notre expertise industrielle pour en faire bénéficier nos marchands. Ce nouveau tour de financement nous donne les coudées franches pour mener à bien tous ces projets.

Accélérer le développement international

 

Notre première cliente (coucou Hermine M.) se situait à littéralement 5 mètres de distance de notre bureau, à l’époque où on était incubés au NUMA. Hier, une commande Back Market a été envoyée au fin fond du Colorado (hello Stephen B.), à environ 7,859 kilomètres de notre siège parisien. Ça donne une idée de la distance parcourue en six ans !

On ne prévoit pas de s’arrêter en si bon chemin. Le problème auquel on s’attaque est mondial, il faut donc un service global pour en venir à bout. Cette levée nous offre les moyens d’accélérer dans les pays déjà ouverts, de l’Allemagne aux Etats-Unis en passant par le Royaume-Uni. Mais elle devrait également nous permettre d’aller lâcher quelques punchlines en polonais et en suédois dans pas trop longtemps. Nie możemy się doczekać.

Se radicaliser encore un poiiil plus

Il y a quelques mois, on a enfin fini par formuler la valeur cardinale de Back Market. On vous la partage en exclu ici :

Et la bande-son qui va avec

Dans le fond, on existe pour une chose : aller saboter l’industrie du Neuf, en prolongeant la durée de vie des appareils au maximum pour en produire le moins possible. Le sabotage chez Back Market, c’est à la fois le principe et la finalité de notre action. C’est aussi notre mode opératoire.

On ne prévoit pas exactement de céder aux douillettes sirènes de l’embourgeoisement. L’argent qu’on a levé viendra financer nos actions de saboteurs, à peu près de la même manière que l’attaque du train de Neuvic. On a encore beaucoup à faire pour rendre l’industrie du reconditionné plus performante, plus séduisante, plus exemplaire aussi. Tout ça demande pas mal d’enthousiasme (on en déborde), d’énergie (ça ne manque pas)… et des moyens financiers à la hauteur de notre ambition (on les a).

Il ne reste donc plus qu’à se remettre… au travail 🤓

Forza!
Thibaud, Quentin et Vianney
co-fondateurs de Back Market

 

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